J’ai commencé à entendre parler du changement climatique et de la finitude du pétrole à partir de 2003 alors que je terminais à peine mes études et cela a déjà questionné énormément de choses. Je comprenais à l’époque que les problèmes étaient certes relativement lointains dans le temps et qu’ils frapperaient surtout les pays pauvres, mais cela suffisait à s’en préoccuper.
Un deuxième déclic est intervenu à partir 2018 où des millions de nouvelles personnes en France commençaient à s’intéresser à ces sujets, apportant des idées nouvelles, avec des perspectives issues de leur secteur d’activité (énergie, agriculture, assurances, immobilier, défense…).
Dans le même temps, je comprenais que le problème était très loin de ne se limiter qu’au climat. Jamais je n’aurais pensé qu’un pays comme la France aurait des problèmes d’eau et d’électricité à court terme !